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Par mayerlin76 le 5 Avril 2016 à 13:09
Le commandant de bord n'a pas encore ouvert les portes de l'avion que l'on a déjà hâte de piquer une tête dans les eaux turquoise des Caraïbes et de profiter d'un repos bien mérité sur un rythme de merengue. Punta Cana s'est hissée parmi les destinations préférées des Français, et pour cause. En plus de ses kilomètres de plages de sable blanc bordées de cocotiers, le spot jouit d'un climat idyllique et de fonds marins impressionnants.
Un paradis naturel
Punta Cana est l'un des pôles touristiques les plus développés de ce bout d'île qui partage son territoire avec Haïti. Toute l'année, la région capte le soleil autant que les adeptes d'évasion. Il faut dire qu'elle possède toutes les infrastructures, aéroport international en tête, pour faciliter au maximum l'arrivée des touristes. La nature fait le reste. Du sud au nord, de Cap Cana à Uvero Alto, un paysage paradisiaque se noie dans le bleu des vagues. Familles et amis viennent donc ici se délecter d'un littoral envoûtant qui se déploie sur une quarantaine de kilomètres. Punta Cana est passé expert dans l'art de faire pousser les complexes hôteliers. Où que vous ayez décidé de poser vos bagages à Punta Cana, quelques foulées dans le sable chaud vous suffiront pour rejoindre votre resort depuis la plage. La formule " All Inclusive " est la plus largement répandue dans ces temples du tourisme. Hébergement, rafraîchissements et occupations en tout genre vous sont servis sur un plateau. Une incitation de plus à se la couler douce... À vous donc le plaisir d'alterner barbotage dans la piscine et siestes à l'ombre des cocotiers. Mais la douce oisiveté n'est qu'une option parmi tant d'autres car Punta Cana a bien d'autres atouts : sa nature offre de multiples activités.
De nombreuses activités sportives
Le cadre idyllique de Punta Cana en fait un spot pleinement tourné vers les activités balnéaires. Si les visites touristiques et culturelles ne sont pas légion sur place, les sports et plaisirs nautiques sont quasiment présents partout. La formule " All Inclusive " est un excellent laissez-passer pour en tester un maximum. En dehors des resorts, opérateurs locaux et rabatteurs fournissent des excursions complémentaires à ceux qui en redemanderaient. Pour en prendre plein la vue, nombreux sont ceux qui vous proposeront le survol des plages en parachute ascensionnel. Pêche au gros, spa, golf et équitation figurent au palmarès des activités. Mais l'activité reine reste la plongée sous-marine. Les conditions de chaleur et de visibilité sont parfaites pour apprécier confortablement les récifs coralliens. Qui plus est, leur faible profondeur leur permet d'être accessibles à tous. Une fois dans le grand bleu, les jardins de coraux aux formes étonnantes laissent fourmiller autour d'eux les minuscules gobies. Plus loin, d'importants bancs de poissons défilent en panoramique et en technicolor. Le casting est impressionnant : le poisson-perroquet vert et bleu côtoie le poisson-papillon rayé de jaune et de noir tandis que le poisson-écureuil rouge essaie de voler la vedette aux pompaneaux presque transparents. Les plus confirmés pourront filer vers les épaves et les amateurs de sensations fortes pratiqueront la plongée en grotte dans les cénotes ou gouffres. À l'abri du danger et si vous en avez les moyens, vous pourrez évoluer en toute tranquillité dans les parcs aquatiques. Le Marinarium, un aquarium naturel de 40 000 mètres carrés, propose par exemple d'observer le comportement des requins et d'interagir avec les raies au cours d'une excursion en catamaran à fond de verre. D'autres invitent à une baignade avec lions de mer et dauphins. On peut aussi y admirer flamants roses, crocodiles, tortues, toucans, sans oublier le cotorra verde, le petit perroquet vert endémique de l'île. Au nord de Punta Cana, dans la baie de Samanà, vous pourrez aussi prendre un bateau pour observer les baleines s'accoupler et mettre bas entre mi-janvier et mi-mars.
Entre arrière-pays authentique et capitale coloniale
Il faudra aussi s'offrir une excursion d'une journée en direction des petits villages de campagne et des champs de canne à sucre. L'occasion unique de rencontrer les habitants et de pouvoir échanger avec eux. Vous toucherez alors de très près le quotidien et la culture des Dominicains. Vous assisterez peut-être aussi à l'un des nombreux combats de coqs hebdomadaires. Ils se déroulent principalement en fin de semaine dans les galleras. Il faut voir les Dominicains se passionner pour ce sport national.
À Punta Cana et dans ses environs, les célébrations font également partie de l'âme dominicaine. On pourra ainsi caler son séjour en fonction de ces grands rassemblements populaires. Sur votre chemin, vous croiserez peut-être des Dominicains émigrés en ville revenant dans leur village d'origine à l'occasion de la fête patronale. Chaque village a la sienne. Feux d'artifice et concerts explosent... et les combats de coqs, un vrai sport national, redoublent de parieurs. Chaque village a aussi ses traditions pour le carnaval qui a lieu deux fois dans l'année (le 27 février, jour de l'Indépendance nationale, et le 16 août, jour de la Restauration de la république). Masques et costumes multicolores rappellent les coutumes d'un passé aux racines africaines et espagnoles. Les carnavals d'envergure sont ceux de Santo Domingo, San Pedro de Macorís, Monte Cristi, Samanà, Santiago et La Vega. Si vous le pouvez, prenez le temps de découvrir ces villes au patrimoine injustement méconnu. Profitez, par exemple, d'être à Santo Domingo pour découvrir son centre historique témoignant des débuts de la colonisation. Prévoyez une bonne journée pour percer les secrets de ce site classé à l'Unesco, mais aussi pour visiter le musée de l'Ambre et faire vos achats au Mercado Modelo.
Rhum et cigare et langouste, petits plaisirs dominicains
Punta Cana regorge de petits plaisirs auxquels vous n'avez pas encore goûté. Saviez-vous, par exemple, que la République dominicaine est le premier pays producteur de cigares au monde avant Cuba ? Fabriqués localement, ils sont d'une très bonne qualité et relativement bon marché. Le rhum est un autre produit du cru. Il se consomme à l'envie : sec, en cocktail ou assorti de cola. Une fois passé l'apéritif et les rafraîchissements, promenez-vous à la recherche d'une bonne table. Moins sophistiquée que celle des îles voisines des Caraïbes, la cuisine dominicaine n'en reste pas moins riche de spécialités. Les chèvres des prés salés de la région de Monte Cristi sont particulièrement réputées. Le plat typique est le sancocho, un ragoût de légumes et de viandes. Mais les menus font également la part belle aux poissons et crustacés issus des eaux miraculeuses des Caraïbes. Langoustes, crabes et crevettes sont succulents. Il faut aussi demander espadon, rouget, thon et dorade. Le plus difficile est en fait de choisir. Le pays est aussi un paradis des fruits avec citrons, bananes, mandarines, noix de coco et pastèques juteuses.
À la nuit tombante, vous entendrez sûrement la rumeur musicale d'un groupe de merengue ou d'un chanteur de bachata. C'est une invitation à poursuivre la soirée dans les bars et discothèques de Punta Cana. À mesure que l'on découvre Punta Cana, on se rend donc compte que le spot est loin de se limiter à l'image de carte postale souvent répandue dans les brochures de voyages.
Infos futées
Quand ? Punta Cana baigne dans le soleil toute l'année. L'hiver, de mi-décembre à mars, est idéal avec un climat ni trop chaud ni trop froid.
S'y rendre. Les vols sont quotidiens pour se rendre à Punta Cana. Les vols charters sont nombreux à desservir la destination.
Utile. Pour préparer au mieux son voyage.
OFFICE DE TOURISME DE LA REPUBLIQUE DOMINICAINE
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Par mayerlin76 le 5 Avril 2016 à 12:58
Une société cachée aux îles Vierges britanniques, un compte secret à Guernesey et, à la clé, 2,2 millions d’euros en billets de banque, lingots et pièces d’or sonnantes et trébuchantes. Depuis juin 2015, la justice s’est lancée sur la piste d’un trésor susceptible de conduire à Jean-Marie Le Pen et à sa femme, Jany Le Pen, et a ouvert une enquête pour « blanchiment de fraude fiscale ».
Le parquet national financier soupçonne l’ancien président du Front national de s’être servi de son ancien majordome et homme de confiance, Gérald Gérin, ayant droit officiel de la société offshore Balerton Marketing Limited, pour y dissimuler une partie de sa fortune. Créée dans le secret des Caraïbes en 2000, Balerton Marketing Ltd apparaît bel et bien sur les fichiers de la firme panaméenne de domiciliation de sociétés offshore Mossack Fonseca, et les données auxquelles Le Monde a eu accès révèlent ainsi une opacité parfaitement organisée. Les registres de la firme livrent quelques documents clés : l’acte de naissance de Balerton (le 15 novembre 2000, sur l’île de Tortola, sous le numéro d’immatriculation 416881), le nom de son représentant légal (l’avocat suisse Marc Bonnant) et la mention d’un compte en banque à Guernesey.Un magot en billets, titres, lingots et pièces d’or
Dans ces fichiers figurent aussi plusieurs documents confidentiels, signés de la main de Me Bonnant. Ils montrent que ce célèbre avocat pénaliste délègue le règlement des factures dues par Balerton à une société suisse spécialisée dans l’offshore, Figest Conseil SA. En 2013, Figest est chargée d’organiser le transfert de Balerton de Mossack Fonseca vers un groupe concurrent, Icaza Gonzalez - Ruiz & Aleman… Un domiciliateur d’entreprises qui est actuellement dans le viseur de la cellule antiblanchiment Tracfin.
Le magot de Balerton se divise en billets (97 000 euros), en titres (pour l’équivalent de 854 000 euros), en lingots (26) et autres pièces d’or. Si le mystère demeure sur le véritable bénéficiaire de ces fonds, les magistrats ont aujourd’hui entre les mains de multiples éléments qui permettent d’établir un lien entre les époux Le Pen et les avoirs détenus par Balerton Marketing Ltd, dont l’existence avait été révélée par Mediapart. Ceux-ci ont été mis au jour par la cellule anti-blanchiment française, Tracfin, qui les a versés au dossier en avril 2015 afin d’éclairer la justice et dont Le Monde a eu connaissance.
Mis bout à bout, ils aboutissent à ce constat, que devront confirmer les magistrats : l’existence d’une confusion de patrimoines et de gestion entre, d’un côté, Gérald Gérin, et, de l’autre, Jean-Marie et Jeanine Le Pen. Dans une note de 23 pages transmise aux juges, les enquêteurs de Tracfin notent : « Il est possible que l’intéressé assume pleinement son rôle d’homme de confiance, jusqu’à intervenir comme prête-nom. »
Un emploi du temps troublant
Pour établir ce diagnostic, Tracfin s’est penché sur l’origine des fonds déposés sur le compte en banque de Balerton, depuis que l’ex-majordome de Jean-Marie Le Pen en est devenu l’ayant droit, en 2008, en lieu et place du frère de Jeanine Le Pen, Georges Paschos, premier bénéficiaire de cette société-écran, mort cette année-là.
Or, ce qu’ont trouvé les enquêteurs financiers les a troublés. A commencer par deux virements d’un montant total de 506 000 euros, effectués en septembre 2004 sur le compte de Balerton par la banque suisse Lombard Odier Darier Hentsch & Cie (LODH). L’établissement, justement, qui avait hébergé les fonds issus de la succession du riche cimentier Hubert Lambert, mort en 1976, et dont Jean-Marie Le Pen a été l’héritier controversé. Des transferts de titres provenant de cette même banque ont suivi. De même que de gros achats d’or par Balerton, en 2009, 2010 et 2011.
L’emploi du temps des époux Le Pen a aussi intéressé Tracfin, d’autant que leur présence en Suisse a été repérée aux dates clés de la vie de Balerton. Ainsi, Jeanine Le Pen s’est rendue à Genève le 7 novembre 2008, soit un mois après le décès de son frère ; et Jean-Marie Le Pen y est allé de son côté les 7 et 8 mars 2014. Soit quelques jours à peine avant que le compte en banque de Balerton soit transféré de Guernesey (HSBC) aux Bahamas (Compagnie bancaire helvétique). Gérald Gérin, lui, bien qu’ayant droit de Balerton, ne semble pas être allé en Suisse. Ses comptes bancaires n’en portent en tout cas pas la trace.
La confusion des finances
Au-delà du cas Balerton, l’examen des comptes bancaires personnels de M. Gérin met en lumière une certaine confusion entre ses finances et celles des époux Le Pen. Les enquêteurs y ont ainsi découvert des mouvements « ne semblant pas le concerner », dont, en particulier, des rentrées d’argent annuelles de 135 000 euros en moyenne entre 2010 et 2013. En 2010, l’un de ses comptes personnels a même été crédité de 30 560 euros pour la vente de deux tableaux. Le virement comportait cette mention explicite : « Avance Mme Le Pen ».
S’intéressant aussi aux dépenses de l’ex-majordome, Tracfin a fait d’autres trouvailles. Comme « le maniement par M. Gérin de sommes importantes, sans rapport avec ses revenus officiels », et « la mise à disposition de moyens de paiement rattachés au FN et aux époux Le Pen ». En tant que trésorier officiel de plusieurs associations de financement liées au FN (Cotelec entre avril 2011 et décembre 2013, puis, à compter de cette date, de Promelec), ce proche de Jean-Marie Le Pen semble en effet autorisé à manier d’importantes sommes relevant du Front national. Un parti dont il serait aussi, selon Tracfin, « dépendant financièrement ». Pour preuve, souligne la cellule antiblanchiment, ces trois cartes American Express en sa possession, rattachées à des comptes bancaires ouverts au nom du FN mais aussi des époux Le Pen. M. Gérin a par exemple réglé 558 000 euros avec la carte du parti entre août 2011 et avril 2014.
A la lumière des éléments recueillis, les enquêteurs de Tracfin soulignent que l’« on peut s’interroger sur le degré d’autonomie dont dispose M. Gérin pour les multiples opérations financières qu’il réalise ». Ils concluent par cette formule prudente : « Les comptes de M. Gérin font apparaître, outre un certain nombre de flux atypiques, des liens privilégiés avec Jeanine Le Pen et Jean-Marie Le Pen. »
« Les affaires de M. Gérin ne concernent que M. Gérin »
Gérald Gérin se dit indigné. Qu’elles soient judiciaires ou journalistiques, les enquêtes qui lui sont consacrées depuis plus d’un an lui donnent, dit-il, le sentiment de vivre « dans une république pire que celle de Ceaucescu ». « Oui », reconnaît-il, il est bien l’ayant droit du trust Balerton Marketing Ltd. « Non », cet argent « n’a rien à voir avec Jean-Marie Le Pen », contrairement à ce que supposent les juges. « Je n’ai jamais servi de prête-nom pour Jean-Marie Le Pen. C’était pour mes vieux jours, je ne m’en souciais pas. C’est Marc Bonnant qui s’en occupait », a-t-il indiqué au Monde. D’ailleurs, il a entamé une procédure de régularisation auprès du fisc le 26 juin 2015, selon son avocat François Wagner. Si M. Gérin dit tout ignorer des mouvements sur le compte de Balerton antérieurs à novembre 2008, il explique que « les parts de la société lui ont été cédées gratuitement par Georges Paschos » sans pour autant détailler les raisons de cette cession.
Sa ligne de défense est identique à celle de M. Le Pen, qui affirme au Monde que « les affaires de M. Gérin ne concernent que M. Gérin ». S’il reconnaît aller en Suisse chaque année depuis longtemps, il assure que c’était pour se rendre au centre d’amincissement tenu par l’un de ses amis, Christian Cambuzat, décédé en 2010. L’avocat Marc Bonnant a, lui, refusé de répondre à « des questions portant sur ses mandats d’avocat, soumis au secret professionnel ». La société Figest a, pour sa part, fait valoir qu’elle s’était « limitée à des services administratifs ». « Nous ignorons totalement dans quelle banque [la société Balerton] avait un compte, [si cette société a été] transférée aux Bahamas, et qui est ou en serait l’ayant droit… », précisent deux de ses dirigeants, Gerhard Auer et Dolorès Coulon.
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Par mayerlin76 le 3 Avril 2016 à 13:15
Tony Tarantino est né le 4 Juillet 1940 à Queens, New York, à Elizabeth Jean et Dominic James Tarantino, qui étaient d'origine italienne / sicilienne. Il a grandi à Brooklyn. En 1952, la famille, qui comprenait sa sœur Diane, a déménagé à Los Angeles, Californie. Tony est diplômé de Washington High School de Los Angeles en 1958. Il a auditionné et a été accepté à la Pasadena Playhouse, diplômé en 1960. Il a attrapé le «virus de la comédie" de son père, qui, au début des années trente est apparu dans plusieurs westerns avec des étoiles telles comme Buck Jones, Tim McCoy, Tom Mix, Hoot Gibson et Fred Thompson. Pendant les années 60 et 70 Tony a acquis de nombreuses compétences.
Tony a reçu son aviation générale licence de pilote pour notation unique et multi-moteur; est devenu compétent dans le tirage rapide de l'Ouest et remporté des prix pour une excellente adresse au tir avec des armes de poing et des fusils; sa formation d'arts martiaux lui a valu une ceinture noire en Karaté et le Kung-Fu; et en tant que membre de la Malibu Roving Archers il est devenu l'homme avec un arc et une flèche. Alors qu'un étudiant au Pasadena Playhouse, où il a appris la danse moderne et l'escrime, il a travaillé pour des conseils en jouant de la guitare et chantant des chansons folkloriques dans les cafés locaux.
L'amour de Tony pour la musique l'a amené à former plusieurs bandes, en jouant le plomb, le rythme et la guitare basse et le chant dans les clubs de souper et boîtes de nuit à Los Angeles et dans la région de South Bay. Tony a également apprécié l'élevage et la formation roping et couper les chevaux dans son ranch en Californie du Sud. Il a produit une télévision entrevue spectacle, co-organisé un talk-show radio et en 1998, a travaillé sur quatre films, mettant en vedette dans un. Il est un membre du "Silver Foxes", l'idée originale du producteur David Krieff. Le "Silver Foxes" est un groupe de parents de célébrités qui incluent la fin Sal Pacino, père de Al; Patsy Swayze, mère de Patrick; et Jenny Crawford, la mère de Cindy; Christine Johnson, la mère de magie; Nikki Robbins, Tony Robbins maman. Tony a terminé l'écriture de son scénario original intitulé "New Horizons". Depuis sa création, Tony a écrit le personnage principal pour Tom Cruise. Un membre impliqué de SAG, il a rejoint Book PALS, bénévolat trois heures par semaine à la lecture à K-3 classes. Tony fait sa maison dans les belles collines de Californie du Sud.
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Par mayerlin76 le 3 Avril 2016 à 13:08
Il a été porté à mon attention récemment que le nom et la réputation de Tony Tarantino a été utilisé illégalement dans les productions par une autre société de production afin de faire progresser leur propre film et l'ordre du jour, en utilisant clairement le nom de Tony va certainement stimuler leur succès dans les différents festivals de cinéma qu'ils ont conclu
Cependant M. Tarantino a refusé de signer le formulaire de consentement légal pour l'utilisation à trois reprises et pourtant cette société de production a utilisé le nom, l'image et l'association de Tony pour promouvoir leur travail. Ils ont reçu un avis FINAL à Cease & Desist un pour supprimer tous les liens, des images ou des références à Tony Tarantino de leur travail et productions.
La production SEULEMENT que Tony Tarantino est associée à ce moment est son propre PRISM Movie - Donc, si quelqu'un qui est sur Facebook ou tout autre réseau de médias sociaux sur Internet ou dans la presse vient à travers l'image de Tony Tarantino utilisé dans toute production qui est PAS TARANTINO PRODUCTIONS en particulier à venir Film Festivals internationaux alors je vous serais reconnaissant si vous pouviez s'il vous plaît me conseiller directement, afin que je puisse prendre les mesures pertinentes immédiate.
Il est très triste que je dois écrire ce post, mais d'utiliser illégalement le nom d'un très respecté et célèbre réalisateur / producteur / acteur dans le but de promouvoir une production qu'il est pas associé à ne doivent pas être autorisés à aller ignoré. Le respect est gagné dans la vie et Tony Tarantino a gagné son respect dans l'industrie du film et il ne sera pas maltraité ou utilisé par d'autres pour leur propre gain.
Nous vous remercions de votre aide à cette question
Lurleen Hilliard
Email - businessmgrtonytarantino@outlook.com
Cellulaire + 1 (424) 253 -0809 (los angeles) USA
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