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Par mayerlin76 le 11 Décembre 2017 à 20:48
Biographie Marie Denigot
Marie Denigot est née à Saint-Nazaire (Loire-Atlantique). Elle commence la danse à l’âge de 2 ans avec le modern jazz et découvre la danse de salon à 8 ans. C’est tout naturellement qu’elle entame la compétition à 11 ans. Les récompenses et les podiums s’enchaînent rapidement : championne de L'Ouest Junior, finaliste au championnat de France Junior en 2006 et 2007 et championne de France 10 danses en 2009. Depuis 2012, elle enfile la casquette de professeur de danse et enseigne sa passion à près de 200 élèves dans sa région natale.
Mais Marie Denigot a bien plus d’une corde à son arc. Cette passionnée de danse est aussi comédienne. La jeune femme a, en effet, eu la chance de faire ses premiers pas au cinéma dans le film d’Edouard Deluc, Je n’ai jamais tué personne.
En 2015, Marie Denigot participe pour la première fois à Danse Avec les Stars en tant que danseuse additionnelle.
Pour la saison 7, elle sera danseuse permanente et coachera le comédien Artus.
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Par mayerlin76 le 10 Décembre 2017 à 21:00
Voici la couronne de MISS FRANCE 2018
qui sera l'heureuse élue????
(fabriquant julien d'ORCEL)
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MATHILDE KLINGUER
CASSANDRA JULIA
JOHANE MATIGNON
LEVINA NAPOLEON
DALIDA BENAOUDI
Je vous présente les cinq candidates favorites de Mayerlinpeople pour l'Election de MISS FRANCE 2018 qui se deroulera le 16 décembre 2017 à Paris.
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Par mayerlin76 le 9 Décembre 2017 à 18:32
Ponctuée d'interventions de ses musiciens et de messages d'amour de ses proches, suivie par des milliers de fans dans les rues et à la télévision, la bénédiction donnée en l'honneur de chanteur restera l'un des événements marquants de ce début de XXIe siècle.
Nono (guitare), Laurent Vernerey (basse), Christophe Deschamps (batterie), Greg Zlap (harmonica), Robin Le Mesurier (guitare), Philippe Almosnino (guitare) et Alain Lanty (claviers) ont pris place sur la scène installée à la droite de l'église de la Madeleine. À quelques centaines de mètres de l'Olympia.
Avec eux, une section de cuivres et des choristes. Tous ces musiciens ont en commun d'avoir joué avec Johnny. Certains d'entre eux étaient encore sur scène avec lui en juillet dernier dans le cadre de la tournée des Vieilles Canailles
LES MUSICIENS DE JOHNNY ONT JOUES TOUTE LA MUSIQUE QU'IL AIMAIT
Ils jouent des versions instrumentales de son répertoire: La musique que j'aime, L'idole des Jeunes, Noir c'est noir, Le pénitencier, Gabrielle, Ma gueule, Quelque chose de Tennessee, Allumer le feu, Requiem pour un fou. Un véritable concert donné par un groupe exceptionnel, amputé pour la première fois de son leader et chanteur, Johnny Hallyday....
Emmitouflés pour lutter contre le froid, les musiciens, emmenés par Yarol Poupaud, directeur musical de l'idole depuis 2012, assurent. Thomas Dutronc, qui était présent lors de la tournée, déclare représenter sa famille, soit ses parents Jacques Dutronc et Françoise Hardy. Thomas fait partie des derniers interprètes de Johnny. Il reprenait Gabrielle dans le cadre de l'album hommage On a tous quelque chose de Johnny , sorti le 17 novembre dernier. Sur le parvis, les fans entonnent Je te promets, joué par le groupe. Certains sont massés devant l'église de la Madeleine depuis les premières heures du matin.
Pendant ce temps-là le convoi funéraire descend les Champs-Élysées, suivi par un cortège d'une dimension gigantesque, avec beaucoup d'avance sur le timing prévu. Les voitures stationnent au bas de l'avenue, juste avant la place de la Concorde. Laeticia baisse la vitre de sa limousine pour montrer à une de ses filles l'ampleur de l'hommage rendu au père de famille qu'il était devenu.
Line Renaud figure elle aussi dans une des voitures du convoi. Contrairement aux anciennes compagnes Sylvie Vartan et Nathalie Baye et les enfants que celles-ci ont eus avec Johnny: David Hallyday et Laura Smet, qui ont pris place dans l'enceinte avec les 800 autres invités personnels de Laeticia.
Qui d'autre que Johnny aurait pu réunir un aréopage de personnalités aussi disparates? Beaucoup d'artistes, bien sûr. Personnalités du cinéma (Carole Bouquet, Sandrine Kiberlain, Gilles Lellouche, Anouk Aimée), de la chanson (Sheila, Dick Rivers, Paul Personne, Alain Souchon et son fils Pierre, Laurent Voulzy, Eddy Mitchell) représentent le plus gros contingent.
Pas mal de politiques aussi. Valéry Giscard d'Estaing a fait parvenir une lettre de condoléances. Claude Chirac représente son père. Nicolas Sarkozy - qui avait marié Johnny et Laeticia à la mairie de Neuilly-sur-Seine en qualité de maire - est venu accompagné de son épouse Carla Bruni. Le premier ministre Édouard Philippe et deux ministres de son gouvernement sont là: Françoise Nyssen (Culture) et Jean-Michel Blanquer (Éducation). François Hollande est accompagné de Julie Gayet. Anne Hidalgo, non loin de la présidente de la région Ile-de-France, Valérie Pécresse.
Quelques personnalités des médias sont là aussi (Étienne Mougeotte, Claire Chazal, Philippe Manœuvre, Michel Drucker), même si la presse a été soigneusement tenue à l'écart. Rarement aura-t-on vu un tel œcuménisme pour les obsèques d'un artiste. Dans les travées, Philippe Labro, Daniel Rondeau, Carole Bouquet et Sandrine Kiberlain relisent leurs notes avant leurs prises de paroles successives.
David et Laura sortent sur le parvis pour accueillir le cercueil de leur père. Ils descendent les marches main dans la main, sous les applaudissements. Les deux filles de David sont sur le perron. La musique a cessé de vibrer alors que le cortège s'avance dans la rue Royale. Le président de la république Emmanuel Macron et son épouse Brigitte sortent d'une voiture stationnée à proximité. Le couple salue chaleureusement les enfants du défunt, alors que le véhicule s'avance très lentement sous les «Johnny, Johnny!» scandés par le public. Laeticia, Jade et Joy marchent derrière le corbillard avant d'aller à la rencontre des deux aînés. Elle enlace le président et son épouse.
Peu avant 13h, le cercueil blanc est déposé en haut des marches. Le président rejoint son pupitre pour commencer son éloge funèbre. Le silence qui précède sa prise de paroles est brisé par le son des hélicoptères qui survolent le périmètre. Dans son discours, Emmanuel Macron insiste sur le lien qui unissait l'artiste à ses admirateurs devant ceux-ci, rassemblés en nombre aux abords de l'église.
"Vous êtes là pour lui, vous attendez qu'il surgisse sur une moto, qu'il entonne une première chanson» explique le président, qui raconte le cérémonial des concerts de Johnny. «Il fallait que vous soyez là; comme il était là pour vous.» À 13h15, le cercueil est placé devant l'autel sur un air de Gabriel Fauré joué par Yvan Cassar au piano. Collaborateur de longue date du chanteur, il interprète ensuite L'Hymne à l'amour accompagné par un violoncelliste.
Philippe Labro, auteur d'une quarantaine de chansons pour Johnny - notamment Jésus Christ - est le premier à prendre la parole. Il dessine le portrait de son interprète et ami qui «aimait choisir les mots, les chanter et les dire.» Avec tendresse et bienveillance, Labro l'homme de lettres évoque «l'enfant dans un corps d'adulte à la démarche chaloupée et souple, le timide qui se transformait en monstre sacré.»
En revenant sur les étapes de sa construction entre «enfance tronquée, excès, extravagances et gloire», il rend hommage à Laeticia, grâce à laquelle «il a appris à s'aimer et à s'accepter». Citant Nietzsche comme Mauriac, Labro conclut par des mots de Robert Bresson. «Quel drôle de chemin il m'a fallu prendre pour parvenir jusqu'à toi.»
Daniel Rondeau, l'homme des entretiens les plus intimes , auteur de plusieurs livres consacrés à Johnny, prend ensuite la parole. Il rappelle l'irruption du rock'n'roll dans la France des années 1950 et le surgissement de ce «jeune homme blond aux cheveux courts qui arpentera le pays avec ses chansons, échangeant sa sueur contre une gloire durable.»
Il évoque un «Johnny gavroche, capable de céder son cachet à des mineurs en grève de la Moselle, qui rejoint le podium des mythologies françaises, entre de Gaulle et Tintin.» En un clin d'œil à Jean d'Ormesson, disparu une journée avant lui, il salue ce talisman des présidents, de de Gaulle à Macron, «admiré dans les friches de la France abandonnée comme dans les donjons de l'establishment.
Une belle version, acoustique et sans paroles du Je te promets de Jean-Jacques Goldman est ensuite jouée à la guitare par Robin Le Mesurier, Yarol Poupaud, Maxim Nucci et Mathieu Chedid. Dans un autre registre, le chœur de la paroisse interprète Le seigneur est mon berger. Dans son homélie, Mgr Benoît de Sinety déclarera «Tout au long de sa vie, il a cherché l'amour» avant de conclure par «Que je t'aime, que je t'aime, que je t'aime, amen.»
Les intentions de prière lues par Carole Bouquet sont ponctuées par des chansons du répertoire, jouées par les quatre guitaristes sur des instruments acoustiques: Retiens la nuit, chanson d'Aznavour et Garvarentz de 1961. La musique que j'aime, chanson de 1973, si personnelle, est rythmée par les applaudissements de l'assemblée.
Mystery Train suit, sous le sourire de Louis Bertignac, guitariste de Téléphone. David Hallyday semble fier de cet hommage de musiciens à un musicien. Quelque chose de Tennessee, qui avait si bien relancé la carrière de Johnny en 1985 est interprétée. De l'amour, aussi, dernier tube de 2015. Et aussi l'arpège caractéristique de Que je t'aime, chanson de 1969. Des centaines de milliers de personnes suivent, dans le recueillement, la cérémonie depuis les écrans diffusant les images de l'intérieur de l'église.
Très ému, le comédien Jean Reno, très proche de Johnny, lit un poème choisi par ses filleules Jade et Joy, la Chanson des escargots qui vont à l'enterrement de Jacques Prévert. Sandrine Kiberlain, ancienne partenaire de cinéma de Johnny, lui succède avec Louanges, prière de mère Teresa. Patrick Bruel, qui avait chanté tant de duos avec Johnny lui prononce un texte de son cru. Barbu, et visiblement très affecté, il évoque le déjeuner lors duquel Johnny lui avait annoncé sa maladie.
«Je n'oublierai jamais ce que tu as fait pour moi, avec à chaque fois ce sourire bienveillant et fraternel. Je t'aimais comme un grand frère. Je pense à ton public, à David, Laura, Nathalie, Sylvie et tes petits enfants. Laeticia, si digne, et Jade et Joy, qui peuvent être fières de leur papa. Tout laissait à penser que tu es immortel. Je n'arrive pas à imaginer qu'il n'y aura plus de Johnny.»
Line Renaud, qui avait lancé Johnny à la télévision en 1960, aura le dernier mot. «Tu avais 16 ans , j'en avais 32, c'était en avril 1960. 57 ans sont passés. Je ne peux pas croire être dans cette situation. Le contraire eut été plus logique» dit-elle en préambule. Elle lit ensuite les paroles d'une chanson écrite pour l'arrivée de Jade, Mon plus beau Noël, écrite par Fred Blondin. Marraine du défunt, Line Renaud est déchirante. L'Ave Maria résonne.
L'assemblée est debout. Largement constituée de célébrités, elle a été renforcée par la présence de fans en blouson aux insignes de Johnny Hallyday, les mêmes que l'on trouvait en vente aux concerts, rassemblements païens à la ferveur inouïe. Et c'est à la mesure de cette ferveur que l'émotion a régné pendant la bénédiction du père benoît de Sinety.
Le chef de l'État s'incline devant le cercueil, juste après Laeticia et ses deux filles, ainsi que Laura Smet et David Hallyday, avant de saluer musiciens et proches. Laeticia porte autour du cou le pendentif qu'arborait son mari sur scène: une croix sur laquelle figure une femme crucifiée sanglée d'une guitare électrique. Guitares et harmonica résonnent une dernière fois avec La musique que j'aime. Cette rare chanson composée par le chanteur lui-même - une anomalie pour ce pur interprète - restera incontestablement son hymne le plus personnel.
Même si elles ne sont pas chantées, ses paroles résonnent dans les oreilles de tous. «La musique vivra, tant que vivra le blues.» Le dispositif exceptionnel mis en place pour ses funérailles n'aura pas empêché l'émotion d'affleurer à chaque moment. Ni la musique de résonner avec fougue. Homme de peu de mots, Johnny Hallyday aurait certainement été heureux d'entendre ses fidèles lieutenants faire chavirer l'âme d'ordinaire si peu rock'n'roll de l'église de la Madeleine.
AU REVOIR JOHNNY
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Par mayerlin76 le 8 Décembre 2017 à 15:56
LENNI KIM ET MARIE
Lenni-Kim, de son vrai nom Lenni-Kim Lalande, né le 8 septembre 2001 à Montréal (Québec), est un chanteur et acteur canadien.
Lenni-Kim Lalande est né le 8 septembre 2001 à Montréal (Québec). Il est le fils unique de Guy Lalande et Myriam Landry.
Dès son plus jeune âge, il imite les chanteurs qu'il voit à la télévision. À l'âge de 8 ans, Lenni-Kim rentre dans une agence de publicité et commence alors à enchainer les tournages de publicités et de films au Québec.
En 2015, il se fait connaître en participant à la saison 2 de The Voice Kids France, où il choisit Patrick Fiori pour coach, mais sera éliminé dès les battles3. Il poste ensuite sur Internet plusieurs reprises, dont Something Big de Shawn Mendes et Love Me Like You Do d'Ellie Goulding en duo avec Phoebe Koyabe. Pour souligner la journée mondiale de prévention du suicide, il lance la chanson Pourquoi tout perdre, accompagné d'un clip réalisé par Antoine Olivier Pilon et mettant en vedette plusieurs comédiens dont Marianne Verville, Alice Morel-Michaud, Camille Felton, Michaël Girard, et Marc-François Blondi.
En 2017, il signe un contrat avec Warner Music France, qui produit son album Les autres, sorti en juin 2017. Ses deux premiers clips, Yolo et Don't Stop atteignent plus de 2 millions de vues chacun.
Il chante en duo avec Lou Jean le générique de la saison 2 de la série Miraculous, les aventures de Ladybug et Chat Noir.
En octobre 2017, il participe à la huitième saison de l'émission Danse avec les stars, devenant à 16 ans le plus jeune candidat de l'histoire de l'émission.
Il est nominé aux NRJ Music Awards dans la catégorie Révélation francophone de l'année.
Il participe à l'album Génération Enfoirés (sortie le 1er décembre 2017) et au concert des Enfoirés Kids, enregistré le 19 novembre 2017 et diffusé le 1er décembre 2017.
- 2015 : Pourquoi tout perdre (court-métrage) : le garçon
- 2016 : Le Pacte des anges, de Richard Angers (cinéma) : William
- 2016 : Les Beaux Malaises (série TV) : Martin Matte jeune
- 2016-2017 : Fluffy Marky (Marc-en-peluche) (websérie) : Jérôme
LENNI KIM
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